Bienvenue dans les Vosges

Bonjour à tous et à toutes. Je vous ai laissés alors que nous faisions les cartons. À présent, nous les défaisons. Une nouvelle adresse à dix minutes en voiture du nouveau travail de mon conjoint dans un coin charmant, l’idéal pour nos chats.

Déménagement

Le 13 juillet a bien eu lieu ma dernière dédicace au Cultura de Lescar. J’y ai battu mon record avec trente-cinq livres vendus ! J’étais ravie. Prochaine date, le samedi 28 septembre à l’Espace Culturel Leclerc de Sélestat en Alsace.

Trop tard pour m’inscrire à un salon. Quant aux dédicaces, tous les libraires contactés m’ont dit que fin août ce n’était pas la peine car les gens n’ont que la rentrée en tête. Début septembre, je pense que ce sera la même chose, les lecteurs auront leur porte-monnaie vidé par les fournitures scolaires et n’auront plus de sous à mettre dans des livres non scolaires. Comme vous pouvez le voir sur mon agenda, après, j’ai encore beaucoup de dates à remplir. J’espère avoir le temps demain de contacter de nouveaux libraires et de chercher des salons.

Côté contes, L’autruche qui voulait voler est sortie comme prévu le 26 juillet, déjà quatre ventes. Je n’ai pas encore eu le temps de contacter mes lecteurs par mailing list. Cette semaine.

Côté écriture, cela fait bien trois ou quatre semaines que je n’ai pas eu le temps de toucher à mon roman… J’enrage et ne sais pas quand je pourrai reprendre. Tant de cartons encore à défaire. Mais pas le temps de s’appesantir, il faut envoyer à la correction la suite des aventures d’Anna pour sortir le conte en octobre et il faut développer mes ventes Internet.

Je vais aussi contacter les bibliothèques locales et les établissements scolaires pour leur proposer mes livres. Bref, ce que je faisais déjà dans le 64, à recommencer ici, dans le 88… Mais ne dit-on pas que la vie est un éternel recommencement… Lol. Devenir philosophe.

D’ici là, mon auteure Hélène Chambaud m’a demandé de nouveaux exemplaires de son recueil de nouvelles : Chrysalide. Pour elle aussi, ça marche. J’ai donc passé commande à l’imprimeur, car moi non plus je n’ai plus de stock. 😉

Et une info qui arrive en fin d’article, comme ça, sans crier gare, mais une info qui n’est pas des moindres : j’envisage de me verser mon premier salaire. Depuis 2015 que je me suis lancée dans cette aventure, elle ne m’a pas rapporté un sou. Pas un centime. Elle m’en a même coûté et m’en coûte encore, chaque fois que je dois mettre de l’essence pour me rendre à une dédicace par exemple. Il y a eu aussi les toutes premières impressions, payées avec le crowdfunding ainsi que mes propres deniers. Et quand, sans une vente dans le mois, je mettais quelques euros sur le compte pro pour les frais bancaires qui eux, ne s’arrêtaient pas pour si peu. Eh bien, grâce aux séances de dédicaces, il semble que ces temps soient révolus.

Jusqu’ici, c’était juste la force d’y croire, de me projeter, de me dire qu’un jour ce serait payant.

Les petits sous se multiplient

Ce jour arriverait-il ? Oh, pas un vrai salaire, pas tout de suite, mais quelque chose de symbolique. Goûter, du bout des lèvres, après 4 ans et demi au fruit de son labeur… Avec les frais du déménagement, le besoin est là. L’idée me trotte dans la tête. 50 €, 100 € ? L’idée me trotte dans la tête.

Et je termine ce long article par un anniversaire : demain, cela fera un an qu’Aliénor, petite boule de chat de poils, est entrée dans nos vies. 😉 Comme vous le voyez sur cette photo qui date de quelques mois déjà, elle est très malheureuse.

Aliénor qui dort

Voilà pour ces news. Et comme toujours, n’hésitez pas n’oubliez pas, vous aussi de poster un commentaire au bas de cet article.

 

Article publié pour la première fois sur Overblog le 12 août 2019.

 

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :