Bonjour à tous et à toutes. Ce mois-ci, j’ai commencé la formation sur la pub Amazon. Elle est toujours en cours. Je croise les doigts quant à ses retombées sur mes ventes.
Mais ce n’est pas tout, puisque je me suis aussi inscrite entre septembre et la fin d’année, pour des formations dédiées aux petits éditeurs et organisées par le Centre régional du livre du Grand-Est. Les places sont limitées et je ne sais pas encore si je suis retenue. Certaines formations sont gratuites, d’autres payantes. Si je suis prise, je pourrai peut-être avoir une aide pour financer celles qui sont payantes. Bien sûr, je vous tiendrai au courant.
J’ai vu un expert-comptable vendredi. Je voulais savoir comment je pouvais embaucher un webmarketeur. Résultat : la marge que je m’octroie sur mes livres est trop faible pour que je puisse me permettre ce genre de dépense… J’enrage. Mais du coup, j’ai bien fait de ne pas me lancer à l’aveuglette. (Ce que de toute façon, je ne fais jamais). Il va donc falloir que je me prévois une marge plus importante sur les prochains livres que je sortirai.
Côté écriture, plus rien n’avance. Je suis victime depuis quelques jours d’une overdose vis-à-vis de mon roman Guerre universelle. Je n’avais encore jamais écrit un livre aussi long et même si j’aime l’écrire, l’histoire (sombre) commence à me peser. En attendant, comme j’étais en retard dans le recopiage sur ordinateur, je m’y colle chaque matin en lieu et place de l’écriture afin de ne pas perdre le fil. Je pense de plus en plus sérieusement à reprendre les dernières pages écrites. Les étoffer ? Les corriger simplement ? Les réécrire ? Je ne sais pas encore. Mais l’idée me travaille.
À côté de cela, l’illustration de mon conte La vraie histoire du loup avance et j’en suis ravie. En revanche, la correction du roman que je souhaite publier en septembre, le Système, de Todd Anderson, et la réécriture des pages produit de mon site de vente piétinent par manque de temps. Je confierai bien la correction à un correcteur. J’en ai maintenant plusieurs sous le coude. Mais le manuscrit est très gros, près de cinq cents pages, et je ne suis pas certaine d’avoir de quoi financer une telle dépense. Surtout que, correctrice, je peux m’en passer. Puis-je m’en passer ? Si seulement les journées faisaient trente heures…