En route vers les Vosges

Bonjour à tous et à toutes. Depuis que nous savons que nous allons déménager dans les Vosges, rien n’est plus comme avant… Le déménagement est dans toutes les discussions, tout le temps et occupe de plus en plus d’heures de nos journées.

Nous n’avons toujours pas trouvé notre nouvelle adresse alors que nous emménageons le 1er août… Bien sûr, nous avons commencé les cartons, le tri, etc.

Panneau Place des Vosges

Au milieu de tout cela, il faut continuer les activités habituelles, notamment en ce qui concerne les livres et l’édition.

Seule bonne nouvelle, le brevet était la semaine dernière, le bac la semaine précédente, je n’ai donc plus d’élèves pour l’instant, plus de cours, ce qui me libère un peu de temps.

La semaine dernière, j’ai réussi à me dégager trois matinées pour écrire, contre à peine une – au mieux – les semaines précédentes. Mon roman Au seuil du monde avance donc lentement, mais avance. J’en suis à près de deux cent trente pages écrites. Mais cent quatre-vingt seize pages recopiées sur l’ordinateur.

Main qui écrit

J’ai par ailleurs décidé de faire davantage correspondre mon engagement écologique avec mon écriture : d’ordinaire, je n’écris qu’au stylo Bic. J’adore : l’écriture est fluide, agréable, moi qui suis gauchère, l’encre ne tache pas ma main. Bref, j’adore écrire avec un Bic. Inconvénient : les pailles qu’on vous distribue dans les verres aux bars sont, comme vous le savez peut-être, très polluantes. Le plastique met des siècles à se décomposer, finit bien souvent dans les océans où il est ingéré par la faune marine qui en meure étouffée. Pourtant, des milliards de ces pailles sont utilisées et jetées chaque année. Bref, quand on vous en propose, s’il vous plaît, refusez. Quel rapport avec les Bic ? Eh bien il m’est apparu, un jour, un éclair de génie, que le tube en plastique dans lequel était inséré le Bic pouvait, par sa forme et sa matière, être assimilable à une paille, de même pour le petit tube qui contient l’encre.

J’ai donc résolu d’user les derniers Bic que j’ai, puis d’abandonner la marque pour un stylo plume avec réservoir (donc pas de cartouches, pas de plastiques), et de l’encre dans un pot en verre. Mes livres sont déjà imprimés sur du papier issu de forêts gérées durablement (labels PEFC ou FSC), voilà qui complètera donc ma démarche écologique en la matière.

Tout autre chose, samedi dernier, j’étais en dédicaces à Arès, près d’Arcachon. Vingt ventes réalisées dans la journée. Seize contes et quatre romans. J’aurais dû vendre cinq romans, mais la dédicace a commencé par un gros bug informatique : mes livres ne passaient pas en caisse. Il leur a fallu près de deux heures pour résoudre le problème alors même que la responsable du rayon avait tout préparé la veille. Bref, j’ai vendu deux livres avant ça, puis j’ai dû m’arrêter, le temps pour eux de tout régler. Nous étions samedi, la première dame a dit qu’elle repasserait lundi chercher son livre, elle n’est pas repassée. Le livre étant dédicacé, je ne pourrai pas le revendre (il est de toute façon toujours à Arès).

Question dédicaces, justement, ma dernière dédicace dans le Sud-Ouest aura lieu dans deux semaines, le samedi 13 juillet au Cultura de Lescar. J’ai annulé tous les salons que j’avais prévu dans le coin à partir de septembre et j’ai commencé les programmations de nouvelles dédicaces, cette fois dans les Vosges et à côté. Vous pouvez découvrir ces nouvelles dates sur mon agenda. Et je suis particulièrement ravie de vous en annoncer deux : les 23 et 24 décembre, pour la veille de Noël, à l’Espace Culturel Leclerc d’Obernai, juste à côté de Strasbourg ! Ce sera sans doute un Noël épuisant, mais pendant lequel j’espère gagner plein de nouveaux lecteurs.

Il me faut aussi vous parler de mon conte L’autruche qui voulait voler qui doit sortir ces jours-ci. Joli petit conte à partir de quatre ans, très bien illustré par une aquarelliste de talent, bien qu’amatrice : Laure Keesing.

Couverture provisoire de L'autruche qui voulait voler

Enfin, ce matin, je suis allée chercher mes nouveaux marque-pages : mille marque-pages (car j’ai pu bénéficier d’une promotion) pour que les gens se souviennent de moi, me connaissent et pensent à commenter mes livres sur Internet…

Marque-page Marjolaine Pauchet Le lecteur commente

Voilà, pensez à glisser vous aussi un commentaire au bas de cet article et des autres, ainsi que pour les livres que vous avez lu. 😉

 

Article publié pour la première fois sur Overblog le 01 juillet 2019.

 

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