Un mois de juin étrange

Bonjour à tous et à toutes. Il n’y a pas eu grand chose de nouveau en juin. Et pour cause, j’ai eu peu de choses nouvelles et peu de temps pour travailler de façon global, la faute au déménagement. Mais le peu de nouveau est un  nouveau marquant…

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Concrètement, j’ai déménagé il y a une semaine. Lundi dernier, nous étions en train de récurer notre ancien logement, c’est pourquoi je n’ai pas eu le temps d’écrire et de poster une nouvelle. Mais je m’y tiendrai ce mois-ci.

Il m’est arrivé en début de mois un évènement auquel je ne m’attendais pas. Un évènement auquel je ne pensais pas être confrontée de sitôt et qui n’est toujours pas réglé : Abdel-Hamid Hasnaoui, l’auteur du conte Kévin et le papillon qui sort le 3 août, est décédé. Je suis en contact avec un de ses fils, mais je ne sais toujours pas comment va se passer la succession, à qui je devrai verser les droits d’auteur, etc. Le conte est en cours d’illustration et l’illustratrice, Aurélie Muller est adorable et va m’aider à porter le livre.

Samedi 25 juin, ma dédicace à l’espace culturel Leclerc de Saint-Dié s’est mal passée. Alors que d’ordinaire, les libraires et responsables sont ravis de m’avoir et de mon fonctionnement avec les clients (je vais dans les rayons de l’espace culturel pour leur proposer de venir découvrir mes livres), cette fois, on m’a gentiment prié de rester assise à ma table, d’où un nombre de ventes très faible. Le plus faible que je n’ai jamais eu… Heureusement, dans le même temps, mon autrice Aurore Buisson faisait sa première dédicace à Limoges. Et cette première s’est très bien passée. Les libraires sont ravis d’elle et elle est ravie de son expérience. Bref, tout le monde est content. Sa prochaine dédicace est prévue pour le mois d’août.

Cette mésaventure au Leclerc de Saint-Dié m’a au moins permis de prendre le temps d’avancer le plan de mon roman. Malheureusement, avec le déménagement, je n’ai pas encore eu le temps de le reprendre. J’en suis donc à l’écriture du chapitre 5. Cela fait dix ou quinze jours que je prends des conseils sur une page Facebook dédiée à la mythologie grecque et du coup, je commence à me poser quelques questions : j’envisageais initialement un roman d’environ trois cents à trois cent cinquante pages. Aujourd’hui, je me demande s’il ne sera pas plus long. À dire vrai, cela n’a que peu d’importance. Il aura la longueur qu’il devra avoir. Quoi qu’il en soit, je prends toujours autant de plaisir à l’écrire.

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